Are sellers paying buyers to buy crude oil?

Are sellers paying buyers to buy crude oil?

Akshit Gupta

This article written by Akshit Gupta (ESSEC Business School, Grande Ecole Program – Master in Management, 2019-2022) analyzes the crude oil market.

Introduction

Commodity futures refer to a contract of buying or selling a specific quantity of a commodity, at a specific date and a fixed price in the future. Commodity markets function differently than stock markets in terms of its volatility, ownership, and the time horizon for settlement. The commodities traded using such arrangements are those which have a competitively large demand and supply base with fluctuation in prices.  The traders invest in commodity futures to prevent any risks arising out of major fluctuations in the prices of the underlying good. Such futures are traded by hedgers and speculators and the positions are closed by both physical as well as cash settlements depending upon the specific needs.

Crude oil futures

Crude oil is an unrefined petroleum product that is naturally occurring and is composed of hydrocarbon deposits and other organic materials. Such oil is refined to produce jet fuel, gasoline, diesel, kerosene, etc.

The two most popularly traded grades of crude oil are Brent North Sea Crude and West Texas Intermediate with a major difference arising owing to their geographical location of extraction.

Picture 2

The prices for WTI, the American benchmark for crude oil, have been dipping since the advent of the unrelenting price war between Russia and Saudi Arabia over the concerns of cutting supply in the oversupplied markets. However, the price for WTI May futures entered a sub-zero level of -$37.63 per barrel on April 20, 2020, where the sellers of crude oil were willing to pay buyers to buy the commodity over concerns of overflooding inventories and weaken global demand for crude oil.

The exact reason for this unprecedented decline is very difficult to comprehend. But with the information available in the public domain, it is well believed that such a movement was based on the fear amongst the buyers that with the May Futures Contract expiring on 21st April 2020, they would be required to take physical deliveries of the oil and owing to already overflooding inventories, there was a sharp sell-off for the futures contract in the market resulting in a negative price.

Also, unlike Brent Crude Oil, the storage facilities for WTI crude oil are limited to a very handful of places in and near the USA. With the production going on and demand at its very low, the facilities are expected to run out of space in the coming months. This has proved to be a major concern for all the future buyers and the effects were well portrayed by the steep decline in prices.

What is expected in the coming days?

If the current lockdown pertains along with the current level of production of crude oil witnessed in America, it won’t come as a big surprise if the prices of WTI Futures expiring in June also ends up in the negative territory. Although OPEC+ members agreed to slash production output by 10%, the decline was not enough to balance the ongoing demand. With more than half of the world under lockdown and most of the industrial activities coming at a halt, the inventories of crude oil have been running up many folds with limited storage capacities. The negative futures price doesn’t mean that hedgers can benefit from this dip since the transportation and storage costs have seen a steep rise, which will nearly nullify the benefits of negative pricing. Also, if the current health crisis pertains for a longer period than previously anticipated, the markets will take a long time to come to its previous level.

About the author

Article written in June 2020 by Akshit GUPTA (ESSEC Business School, Grande Ecole Program – Master in Management, 2019-2022).

Choisir un courtier en ligne pour investir en bourse

 

Choisir un courtier en ligne pour investir en bourse

Prof François Longin choix du courtier

Dans la réalité, les individus ne peuvent pas accéder directement au marché pour acheter ou vendre des actifs financiers comme des actions ou des devises. Ils doivent passer par des intermédiaires chargés de transmettre les ordres de leurs clients au marché. Il peut s’agir d’une banque mais depuis le début des années 2000, des institutions spécialisées se sont développées sur internet : les courtiers en ligne.

Quels critères retenir pour choisir un courtier en ligne pour investir en bourse ?

Les frais de courtage

Pour tout passage d’ordre en bourse, un courtier vous facture des frais appelés frais de courtage. Le montant des frais de courtage est prélevé au moment de la transaction sur votre compte-espèces. Le montant et la structure des frais de courtage sont très variables d’un courtier à l’autre. Les courtiers proposent aussi différentes formules selon votre profil de trading (montant moyen des ordres et nombre d’ordres passés par mois), ce qui ne facilite pas vraiment les comparaisons entre courtiers.

La structure des frais est souvent à la fois fixe (pour les petits montants) et variable (pour les gros montants). Par exemple, 2 € si le montant de l’ordre est inférieur à 1 000 €, et 5 € pour tout ordre d’un montant entre 1 000 et 5 000 €, et 0,10 % pour les ordres d’un montant supérieur à 10 000 €. Notez que les frais sur les ordres passés sur les marchés étrangers (à partir d’un courtier localisé en France) sont souvent beaucoup plus élevés.

Parmi les différentes formules de frais proposés par les courtiers, votre choix sera guidé par votre profil de trading défini par le nombre estimé d’ordres passés par mois. Un profil « Trader actif » correspond à plus de 10 ordres passés par mois.

Le montant des frais n’est pas à négliger car il peut impacter significativement la performance de votre investissement en bourse. Pour un trader peu actif passant 2 ordres par mois pour environ 500 € sur Euronext, le montant total des frais devrait rester au-dessous de 100 €. Pour un trader très actif passant 20 ordres par mois pour environ 1 000 € sur Euronext et à l’étranger, le montant total des frais pourra facilement dépasser 2 000 €.

On prendra aussi connaissance des frais de transfert de compte ou de clôture.

Les marchés et produits disponibles

En France, les courtiers en ligne proposent tous l’accès au marché Euronext qui est la principale place boursière de la zone euro (Amsterdam, Bruxelles, Lisbonne et Paris). Selon vos besoins, il peut être intéressant d’avoir accès à d’autres marchés : Londres, Milan, Zurich, marchés US, marchés asiatiques….

De même, les courtiers en ligne proposent tous les produits standards comme les actions, les devis et les matières premières. Selon vos besoins, il peut être intéressant d’avoir accès à d’autres produits : OPCVM, trackers, options et futures, warrants… Certains courtiers (mais pas tous) proposent aussi de réaliser des opérations à effet de levier – achats et ventes à découvert – avec le Service de Règlement Différé (SRD).

La simplicité d’utilisation de la plateforme

La plateforme de trading doit être simple à utiliser pour à la fois passer des ordres sur les marchés et suivre l’évolution de votre position (le cash sur votre compte-espèces et les lignes de votre portefeuille de votre compte-titres).

On regardera aussi si le courtier propose une application sur téléphone mobile en plus de l’accès internet classique.

Le support technique

De par mon expérience, j’ai pu constater que le fonctionnement d’un compte chez un courtier en ligne (ou une banque traditionnelle) n’est jamais parfait. On peut citer par exemple la difficulté ou l’impossibilité à recouvrer ses codes d’accès. Il est donc indispensable de pouvoir contacter le support technique pour résoudre les problèmes qui se présenteront. On prêtera attention à la plage horaire du support, au délai d’attente en ligne et à la qualité des réponses.

A faire avant d’ouvrir un compte

Avant d’ouvrir un compte, je vous conseille d’ouvrir un compte fictif pour tester la plateforme de trading et voir si elle vous convient en termes d’utilisation : passage d’ordres, rapidité d’exécution des ordres, services associés (comme les alertes SMS), présentation des ordres et des transactions, et organisation du compte. Il est important aussi de vérifier la disponibilité des produits et des marchés accessibles. Tester le support technique – la hotline – est aussi une expérience révélatrice.

Quelques sites de courtage en ligne

En France : boursorama.com et boursedirect.com

En Europe : internaxx.com swissquote.com et keytrade.com

Aux Etats-Unis : etrade.com schwab.com tdameritrade.com interactivebrokers.com voire speedtrader.com et suretrader.com.

Merci et derniers conseils d’un ami

Pour finir, un grand merci au Prof. Jean-Marie Choffray qui a partagé avec moi ses conseils en matière de choix de courtier en ligne. Il me rappelle la lecture de deux livres qui doivent être étudiés très attentivement : Malkiel (A random walk down Wall Street), et, SURTOUT, Clews (Fifty years in Wall Street) – la « bible » pour ce qui le concerne ! Son résumé pourrait vous ouvrir l’appétit https://orbi.uliege.be/handle/2268/225434.

Avant de vous lancer sur les marchés, il est aussi nécessaire de vous former. Le certificat SimTrade vous permet de découvrir les marchés de façon pédagogique et ludique.

Que Le Marché Soit Avec Vous !

Influence des marchés financiers sur les décisions des entreprises

Les marchés financiers influencent-ils les décisions des entreprises ?

Excellente vidéo de mon collègue Jérôme Barthélemy, Professeur de stratégie et management à l’ESSEC, qui présente une récente étude académique traitant de l’influence des marchés financiers sur les décisions des entreprises (dépenses de R&D et dépenses de marketing).

Cet aspect de rétroaction est pris en compte dans les simulations SimTrade, certains événements des sociétés étant liés à l’évolution du cours de bourse (passé ou anticipé).

L'AMF met en garde les particuliers sur les risques liés au trading

9 clients particuliers sur 10 sont perdants ! Tel est le constat terrifiant d’une récente étude de l’Autorité des marchés financiers (AMF) sur le trading des particuliers.

L’étude de l’AMF porte sur une clientèle de particuliers ayant investi sur le marché des changes (le Forex) et des produits dérivés à effet de levier (CFD ou Contract for differences). Les résultats de l’étude s’appuient sur les performances de 14 799 investisseurs particuliers actifs, clients de prestataires de services agréés, et portent sur une période de 4 ans, allant de 2009 à 2012.

Les résultats de l’étude de l’AMF sont sans appel et confirment le danger de cette activité pour le grand public : sur quatre ans, le pourcentage de clients perdants tous prestataires confondus est proche de 89 % ; la perte moyenne par client est de près de 10 900 euros entre 2009 et 2012 ; sur ces 4 années, 13 224 clients ont perdu au total près de 175 millions d’euros, tandis que les 1 575 clients restants ont gagné au total 13,8 millions d’euros.

Au-delà de cette grande majorité de clients perdants et des pertes subies, l’étude de l’AMF met surtout en lumière un phénomène comportemental : le peu d’apprentissage dans le temps des investisseurs particuliers. En effet, il s’avère que les traders les plus actifs et réguliers voient leurs pertes se creuser dans le temps.

J’explique les résultats de l’étude de l’AMF par le manque de formation des clients. Si les marchés financiers constituent sans doute l’un des derniers espaces de liberté dans nos sociétés, je pense qu’il est en effet dangereux de se lancer sur les marchés sans formation. Quelque soit le motif – le trading à court terme ou la mise en oeuvre d’une stratégie d’investissement à long terme – je pense qu’il est nécessaire de se former et d’avoir un minimum d’expérience. C’est ce que propose SimTrade avec ses formations (pour acquérir des connaissances) et ses simulations (pour acquérir de l’expérience). L’objectif de SimTrade est double : comprendre le fonctionnement des marchés et apprendre à intervenir sur les marchés. SimTrade propose une formation de qualité déjà testées par des milliers de participants.

Plus qu’une lueur d’espoir…

Note de marchés de Jean-Marie Choffray

« Les voit-on, comme je les vois, ces carrefours illuminés, ici tout proches les uns des autres, véritables grappes de lumière, et là disséminés comme s’ils marquaient les frontières de grands déserts sans lumière parce que sans universités ? » écrivait il y a quelques années Hubert Nyssen…

Dans un petit livre dense, à paraître dans les mois à venir, quatre professeurs de l’Université de Liège s’inscrivent en porte-à-faux de la sinistrose ambiante dans laquelle semble vouloir sombrer le monde moderne, et, particulièrement, l’Europe. Rédigé dans un style concis et enjoué, ce texte (http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/172118) cherche à partager leurs multiples, et très tangibles, raisons d’espoir.

Les développements les plus récents et les plus prometteurs dans les domaines du droit, de la médecine, de la technologie et de l’entreprise (http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/171844), sont passés en revue. Une multitude d’opportunités nouvelles sont découvertes, véritables gisements d’activités et d’emplois. Et, le fait que certaines de ces opportunités aient parfois tendance à se cacher dans les nuages de la virtualité numérique, ne fait qu’en renforcer l’extraordinaire pertinence. Cette évolution, incontournable selon les auteurs, fait que c’est peut-être à une véritable « Renaissance » du monde que nous assistons aujourd’hui.

A suivre donc… Jean-François Gerkens, Marie-Elisabeth Faymonville, Jacques Destiné et Jean-Marie Choffray, « Plus qu’une lueur d’espoir… » à paraître.

Club des Jeunes Financiers

Connaissez-vous le Club des Jeunes Financiers (CJF) ? Ce Club regroupe des étudiants et des jeunes professionnels de la Finance, de tous horizons : finance d’entreprises, finance de marchés, professionnels du droit et de la conformité, métiers de conseil…

J’apprécie en particulier la vocation du Club : revaloriser les professions financières dans l’opinion publique et souligner le rôle essentiel de ces professions dans le développement d’une économie, d’une entreprise, d’une idée nouvelle que l’on veut mettre en œuvre. D’un point de vue éthique, le Club essaie d’accompagner les jeunes – potentiels futurs décideurs financiers – afin d’en faire des financiers lucides, bien informés et d’empêcher les excès de la Finance moderne à l’avenir.

En pratique, le Club présente les métiers par des ateliers mensuels, informe ses membres par des rencontres/revues de presse/articles de professionnels, met l’accent sur le développement du réseau professionnel de chacun notamment via l’organisation d’ateliers. En relation avec le Centre des professions financières, les membres sont conviés à des rencontres avec des grands professionnels de la finance.

Contact : Antoine KOFFI (antoine.koffi at jeunesfinanciers.com)

Vous trouverez ci-dessous la dernière présentation de SimTrade devant les membres du CJF :

Publication dans l'ouvrage collectif "Gestion de patrimoine : clés et outils"

Bonjour,

François Longin, coordinateur du projet SimTrade et professeur de finance à l’ESSEC, a récemment contribué à l’ouvrage collectif Gestion de patrimoine : clés et outils publié par ESSEC Publishing. Cet ouvrage rassemble diverses contributions sur le sujet transversal qu’est la gestion de patrimoine. L’approche développée dans cet ouvrage est que chacun doit s’intéresser à la gestion de son patrimoine. Ceci est d’autant plus vrai qu’en France, les systèmes de prévoyance et de retraite ne cessent de montrer leurs limites, les individus des générations actuelles et futures devant se constituer eux-mêmes leur patrimoine tout au long de leur vie professionnelle pour assurer leurs vieux jours… La devise de l’ouvrage pourrait être : Investissez-vous !

Dans l’article “SimTrade : découvrir les marchés financiers”, Professeur Longin présente SimTrade, outil pédagogique innovant pour comprendre le fonctionnement des marchés financiers et apprendre à intervenir sur les marchés. Ce cas pédagogique intéressera les particuliers qui gèrent eux-mêmes leur portefeuille boursier (compte-titres ou PEA). Il intéressera aussi les professionnels de l’investissement, les gérants de portefeuille, pour qui le trading est la dernière étape du processus d’investissement et pour qui le coût d’exécution est une composante importante de la performance de leurs fonds (en particulier, si les arbitrages au sein du fonds sont fréquents).

Microblogging et marchés financiers

Bonjour,

L’information est la matière première les marchés financiers. Par “information”, on pense souvent à l’information donnée par les entreprises sur leurs activités opérationnelles et leurs comptes ou encore aux données de marchés comme les prix et les volumes de transaction. Le travail des traders (personnes physiques ou machines algorithmiques) est alors d’analyser le flux d’information (le news flow) pour prendre une décision de trading : acheter, vendre ou ne rien faire…

Le microblogging comme Twitter, symbole de l’immédiateté de notre monde d’aujourd’hui, joue un rôle de plus en plus important. Les tweets diffusent de l’information, mais propagent aussi des rumeurs, ou encore dévoilent le sentiment des acteurs. De nombreux professionnels (courtiers, analystes financiers, etc.) utilisent maintenant Twitter ou d’autres réseaux pour partager de l’information. On pourra lire l’article de Stéphanie Haerts à ce sujet paru sur le site des Echos. Des études académiques récentes ont d’ailleurs montré que le contenu des réseaux sociaux permettaient de prédire les cours boursiers, ce qui peut donc amener certains acteurs à utiliser les réseaux sociaux pour manipuler les cours.

La plateforme de trading SimTrade propose aussi un outil de microblogging sur la page Actualités des simulations. Alors information  ? Désinformation ? Manipulation ? SimTrade vous offre l’opportunité de vous faire votre propre opinion sur le sujet. Empower yourself !

Microblogging et manipulation des marchés financiers

Bonjour,

L’envoi de messages instantanés via des outils de microblogging est très pratiqué en finance de marchés entre les banques et leurs clients mais aussi entre les banques et à l’intérieur des banques.

Les événements récents sur les marchés financiers – la crise du Libor – montrent que les messageries instantanées peuvent aussi être utilisées à des fins de manipulation des marchés. D’ailleurs, certaines banques d’investissement comme Deutsche Bank et UBS et plus récemment JP Morgan ont limité voire interdit l’usage des messageries instantanées proposées sur les terminaux Bloomberg et Reuters. On pourra lire sur le sujet l’article de Beecher Tuttle sur le site efinancialcareers.

La plateforme de trading SimTrade propose aussi un outil de microblogging sur la page Actualités ds simulations. Alors information  ? Désinformation ? Manipulation ? SimTrade vous offre l’opportunité de vous faire votre propre opinion sur le sujet. Empower yourself !

Pourquoi les particuliers et les professionnels ont-ils peur de la Bourse ?

Bonjour,

Je viens de lire un interview intéressant de Gérard Rameix (Président de l’Autorité des marchés financiers – AMF) par Bertille Bayart paru dans le Figaro Entreprises (28/11/2013).

Nous y lisons que les investisseurs individuels, averses au risque, sont réticents à investir en Bousre (ce qui est un trait bien connu des Français). Mais, plus surprenant, même les professionnels sont frileux ! Des équipes de l’AMF ont mené des visites mystères pour tester la commercialisation des produits financiers et rares sont les conseillers qui conseillent aux clients un placement purement en actions, même quand le client se dit prêt à prendre des risques !

Je pense qu’une des raisons de ce type de comportement, tant chez les particuliers que chez les professionnels, est le manque de culture et de formation dans les domaines de l’économie et de la finance. Comprendre le fonctionnement des marchés, savoir interpréter le flux d’actualités des entreprises, connaître les fondamentaux de la valorisation des actifs financiers, gérer un portefeuille de titres en maitrisant le triptyque rentabilité / risque / liquidité sont en effet un préalable à tout investissement financier.

Au-delà des clichés véhiculés par certains films, SimTrade propose par son approche originale – apprendre, pratiquer et participer – de former les particuliers et les professionnels aux marchés financiers.

Apprendre avec des cours en ligne pour découvrir la finance de marchés et la finance d’entreprises.

Pratiquer ce que vous avez appris avec des simulations de marchés et d’entreprises.

Participer à des concours pour confronter votre savoir et votre savoir-faire aux autres traders sur le marché.

Psycho Shark : nouveau roman boursier

Bonjour,

Quel plaisir de vous annoncer la sortie du nouveau roman boursier Psycho Shark écrit par un SimTrader Ashley BOOLELL.

Ecrit dans un style incisif, vous suivrez le protagoniste Roy Dubled, trader dans une société de bourse parisienne, dans ses aventures sur les marchés financiers. Le livre aborde de nombreux aspects de marchés que vous pouvez retrouver au travers des simulations SimTrade : mise en place de stratégies de trading, gestion des risques d’une position, psychologie des traders, manipulation des cours…

SimTrade pour un retour en Bourse

C’est un fait avéré depuis le début de la crise : les Français sont de moins en moins attirés par les marchés financiers.

SimTrade, comme outil pédagogique pour comprendre les marchés financiers et apprendre à intervenir sur les marchés financiers, devrait permettre d’inverser cette tendance et de ramener les investisseurs sur le chemin de la Bourse. Avec la chute continue des retraites, les Français doivent plus que jamais se constituer un patrimoine tout au long de leur vie professionnelle pour gérer leur période de retraite. Et les investissements financiers avec les investissements immobiliers constituent les deux piliers du patrimoine des ménages.

Une étude TNS Sofres pour La Banque Postale et le journal Les Echos précise cette tendance : les actionnaires individuels se font de plus en plus rares : ils ne représentent plus que 8,3 % des Français (de 15 ans et plus) alors qu’ils étaient 13,8% en 2008 avant la crise. En valeur absolue, cela se représente 2,4 millions d’investisseurs qui ont déserté les marchés. L’étude note que l’exode des particuliers est continu et régulier mais s’accélère depuis 2010. Voir le graphique ci-dessous de l’étude.